Le Corbier
Le Corbier fut bâti sur le modèle des stations dites de 3e génération, inspirée par le succès des stations comme Courchevel et La Plagne. Le projet d’équipement, qui avait failli aboutir en 1938 et arrêté par la Guerre, était au cœur d’une préoccupation essentielle : préserver la sécurité de l’enfant, du piéton et du skieur d’où l’idée d’implanter des bâtiments au pied des remontées mécaniques et séparer autant que possible les voitures, les skieurs et les piétons. |
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C’est toute un équipe qui se lance dans cette aventure : le maire Clément Duverney, le promoteur Christian Guérin, l’architecte urbaniste Jean Claude Bouillon, le skieur du pays Noël Dompnier et toute une équipe municipale de jeunes. Après 3 ans d’étude et 6 mois de travaux, la station est inaugurée le 30 décembre 1967 avec 17 km de pistes équipées et quelques centaines de lits. |
Les années suivantes, la construction du Corbier se poursuit. C’est ainsi que sont érigés les fameux colosses de bois Cosmos, Soyouz ou Baïkonour… des noms mis à la mode par la conquête de l’espace. La station doit son nom au mont Corbier au pied duquel elle est implantée et qui culmine à 2 265 m d'altitude. |
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Depuis sa création, la station a beaucoup évolué et compte 20 résidences et un lotissement. S'ajoutent également des clubs de vacances qui proposent des locations, mais aussi des propriétaires indépendants et des agences immobilières. |
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Aujourd'hui, face aux nouveaux défis et enjeux actuels, la station doit s'adapter, réduction des émissions de carbone, De la consommation d'eau avec des canons à neige moins énergivores. Face au réchauffement climatique et à la possibilité de la baisse d'ensoleillement dans les années à suivre, La station doit aussi diversifier ses activités pour la saison estivale, une piste de VTT a était créé. |
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